Millenials, Digital natives ou Génération Z, voici la prochaine force de travail de notre siècle. Nés dans les années 90, après la Génération Y (nés entre 1980 et 1999), ces nouveaux arrivants sur le marché du travail vont très largement bousculer les codes de management.

 

Nous avions déjà traité de la Génération Y, il y a peu dans notre article de blog :  « La Génération Y transformera-t-elle les business model d’aujourd’hui ? ». Outre l’aspiration à une entreprise plus verte, plus éthique et se souciant du bien-être de la société, la Génération Z a davantage de souhait que la Génération précédente. En effet toujours plus nomades, indépendants et avides de responsabilités, les Millenials devront être stimulés continuellement. Comment manager alors une force de travail qui est encore méconnue ?

 

Nicomak vous donne quelques conseils :

 

  • Ils préfèrent les hiérarchies plates !

La génération Z veut évoluer dans un environnement où les statuts, l’ancienneté, le grade n’ont pas d’importance. Ils veulent travailler dans un environnement où toutes les parties sont égales. Bien sûr, il ne faut pas se méprendre, cela ne veut pas dire qu’ils ne respectent l’expérience et les compétences. Bien au contraire, ils veulent pouvoir être au plus proche de ceux qui peuvent leur apporter beaucoup.

 

  • Privilégiez la transparence !

Nés avec internet dans la paume de leur main, avec une information jamais bridée et une connexion haut débit, ils n’acceptent pas d’être mis à l’écart et encore moins d’être dupés. Les Digitals natives ont besoin de transparence et de véritables engagements de la part de leur entreprise. Ils souhaitent connaitre toutes les décisions et si possible pouvoir en prendre part. De plus, habituée aux flux d’informations ininterrompues, la rapidité et l’instantanéité seront leurs atouts.

 

  • Et surtout le Challenge !

Comme on avait déjà pu le remarquer avec la Génértion Y, les jeunes préfèrent prendre des risques. Ils se tournent de plus en plus vers les start up ou encore l’entrepreneuriat. Les critères de motivations d’un travail sont maintenant les possibilités d’évolutions, le bien-être, le développement personnel… et bien loin derrière le salaire. La Génération Z doit être constamment stimulée.

« L’ennui est leur ennemi numéro 1 »